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Les romans de nos terres paysannes
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De nouvelles dates se programment à l'occasion de la sortie du roman Un château pour les pigeons.
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Le silence de la Combe (Editions du 38)
Au hameau de L’Albouy, on vit un peu en cercle fermé, on est si loin du village de Penens. Aussi, lorsque la guerre éclate en septembre 1939, c’est tout un monde qui vacille.
Suzanne Lacroux, la carillonneuse, doit délaisser son clocher pour se consacrer à son jeune fils Michel et s’occuper, seule, de La Combe, la ferme familiale. Jean, son mari, réserviste de 34 ans vient d’être mobilisé et de partir pour Agen.
Tandis que le conflit résonne au loin et apporte son lot d’angoisses et d’épreuves, Suzanne doit faire front devant l’incommensurable travail qui l’attend.
Les aléas des débuts de la Seconde Guerre mondiale la mettent face à son destin quand Lino, qu’elle pensait avoir oublié, réapparaît.
Quels secrets que tous croyaient enfouis révéleront ces temps troublés ?
Dans ce Lauragais de la terre, caressé par le vent d’autan, cette histoire de courage et de ténacité se déroule, presque silencieuse, au cœur de paysages et d’horizons grandioses.
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Série Ceux de la Borde Perdue
Editions Il est Midi
Novembre 1951. A Florac-Lauragais, la famille Bourrel s’installe à la Borde Perdue, propriété de l’austère Honoré Bacquier. Elia, Léonce, Germain et tous les leurs ont quitté soudainement la métairie d’Alfred Belloc qu’ils exploitaient depuis plus de vingt ans.Quatre générations vivent sous le même toit, quatre générations que le destin n’a pas épargnées à tel point, qu’en chuchotant, on les surnomme les « maffrés ». Ils fuient les blessures et les douleurs du passé. Au sein de ce clan balloté, Louise cherche sa place…
Ceux de la Borde Perdue, métayers dans le Lauragais des années 50 : du webroman à l'édition papier
Novembre 1951. A Florac-Lauragais, la famille Bourrel s’installe à la Borde Perdue, propriété de l’austère Honoré Bacquier. Elia, Léonce, Germain et tous les leurs ont quitté soudainement la métairie d’Alfred Belloc qu’ils exploitaient depuis plus de vingt ans.
Quatre générations vivent sous le même toit, quatre générations que le destin n’a pas épargnées à tel point, qu’en chuchotant, on les surnomme les « maffrés ». Ils fuient les blessures et les douleurs du passé. Au sein de ce clan balloté, Louise cherche sa place…
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« Es sus la talvera qu'es la libertat »
C'est à la lisière qu'est la liberté
Joan Bondon (Lo Libre de Catòia)
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